Dieuvous bĂ©nira et ouvrira les yeux de votre entendement afin que vous puissiez voir la fin dĂšs le commencement. Le respect des principes Ă©noncĂ©s dans Jeunes, soyez forts vous apportera l’estime de vous-mĂȘme. Écrivez ces principes dans votre cƓur et dans votre esprit et vivez-les. Eltanin T. RosierSombralAge 37Messages 271Gallions 1630Date d'inscription 29/10/2019Feuille de personnageBaguette 34,6 cm, bois d’olivier, ventricule de dragon, elle est assez PurTravail / Etudes Apothicaire MaĂźtre des PotionsMar 29 Oct - 1905Eltanin Terebellum Rosier34 ans – Sang-Pur – Jake GyllenhaalNationalitĂ© Gallois Maison SerdaigleOrientation Sexuelle DemiromantiqueSituation maritale officieusement fiancĂ© Situation financiĂšre AisĂ©e Travail Apothicaire Baguette 34,6 cm, bois d’olivier, ventricule de dragon, elle est assez 1m86Corpulence ElancĂ©eCheveux Brun foncĂ©s, raides, souvent plaquĂ© en arriĂšre, mi-longsYeux bleu cielAutres Bien que tu n’aies que peu de grains de beautĂ© sur le visage, tes bras et ton dos en sont peuplĂ©s, t’aimes pas spĂ©cialement ça, alors quand t’en a l’occasion, tu prĂ©fĂšres porter des manches longues. T’as eu une sƓur jumelle, mais t’en parle assez rarement, voire pas du tout. T’as une cicatrice sur l’avant-bras droit, assez longue, trace de ton premier signe de magie. Si Ă  force de persĂ©vĂ©rance et de patience, tu as fini par devenir un Legilimens, t’as eu nettement plus de mal avec l’Occlumancie, et tu n’en maĂźtrises que quelques bases peu fiables. Tu ne supportes pas vraiment le silence, alors il t’arrives inconsciemment de tapoter doigts sur la table, ou de taper lĂ©gĂšrement du pied lorsqu’il n’y a pas assez de bruit ambiant Ă  ton goĂ»t. T’as une assurance assez incroyable, que ce soit en tes gestes, tes paroles, tes idĂ©es. Quelque chose qui t’a toujours poussĂ© Ă  donner du meilleur de toi-mĂȘme, Ă  avancer, sans te poser trop de questions non plus. Si t’as pu faire des erreurs dans le passĂ©, t’as essayĂ© d’en retirer Ă  chaque fois une leçon. MĂȘme si l’échec ne te fait pas spĂ©cialement peur, jusqu’à maintenant, rien de ce que t’as pu faire ne t’a menĂ© Ă  mort, t’en es bien heureux, et tu ne vois pas pourquoi tu devrais commencer Ă  douter de assurance qui peut mener Ă  un certain entĂȘtement. T’aimes vraiment pas devoir admettre oralement que t’as tort, ou juste dire qu’une autre personne est meilleure que toi. Si t’as une idĂ©e en tĂȘte, il sera extrĂȘmement difficile de te la sortir. Tu viendras mĂȘme Ă  faire preuve d’une mauvaise foi assez incroyable si on t’amĂšne des preuves concrĂštes pour te dĂ©montrer tes fautes. Et revenir plus tard, ou le lendemain comme une fleur en ayant changĂ© d’avis, et en faisant comme si tu n’avais jamais eu tort de ta vie. T’as une curiositĂ© assez forte, voire mĂȘme sans aucune limite. Elle pousserait presque Ă  faire croire que tu as un certain dĂ©ficit de l’attention. T’es capable en pleine conversation de changer de sujet Ă  une vitesse assez incroyable, simplement parce que quelque chose d’autre Ă  captĂ© ton esprit, que tu t’es vraisemblablement au choix lassĂ© de ce dont vous parliez juste avant, ou que ta curiositĂ© t’as poussĂ© Ă  t’intĂ©resser Ă  autre chose. N’ayant aucune notion de ce qui peut ĂȘtre bien ou mal tu te retrouves parfois dans des situations classĂ©es Ă©thiquement et moralement mauvaises selon la sociĂ©tĂ©, juste pour satisfaire ton besoin de comprendre, de toucher Ă  tout. On ne peut clairement pas t’enlever le fait que t’as un sang-froid, une patience assez mĂ©morable. Tu peux te retrouver dans la pire des situations, que tu continueras d’agir comme Ă  ton habitude, sans pour autant te mettre Ă  stresser. T’es franchement pas une personne qu’on Ă©nerve facilement. Agacer, c’est diffĂ©rent, mais il y a peu de chances pour que tu ne t’emportes suite Ă  des remarques qu’on puisse te faire. Tu gardes un ton et une attitude assez posĂ©s et gĂ©nĂ©ralement peu agressifs. Tu n’as strictement rien contre la violence physique, ou en tout cas en voir, mais t’aimes vraiment pas te salir les mains, si t’en veux Ă  quelqu’un, tu prĂ©fĂšres clairement le lui faire payer par des moyens plus quelqu’un de rarement sĂ©rieux. T’estimes que t’as qu’une seule vie, et qu’il vaut mieux en profiter plutĂŽt que de s’embourber dans des situations barbantes. Tout est sujet Ă  l’amusement, dont les autres. A quelques dĂ©tails prĂšs, tu serais capable de les considĂ©rer comme Ă©tant des bouffons prĂ©sents pour te divertir. Mais il leur arrive de le faire sans mĂȘme que tu ne demandes quoique ce soit, donc bon, tu ne vas pas t’en plaindre. T’aimes pas du tout te prendre la tĂȘte, sur quelque chose ou avec quelqu’un, alors les conflits et les problĂšmes, tu prĂ©fĂšres nettement les prendre Ă  la point auquel il est difficile de ne pas faire attention, c’est ton Ă©gocentrisme. Il paraĂźt dĂšs les premiĂšres minutes de conversations. Parce que ton sujet prĂ©fĂ©rĂ© est bien Ă©videmment, ta petite personne. Si tu arrives Ă  ne pas ramener un de tes nombreux faits durant plus de cinq minutes, cela tient presque du miracle. Tu ne te prends pas pour n’importe qui, en fait. T’es totalement persuadĂ© d’ĂȘtre l’une de ses personnes mĂ©ritant ĂȘtre au-dessus des autres, et ce pour plusieurs raisons d’ on s’adresse Ă  toi, il vaut mieux ne pas tout prendre au premier degrĂ©. L’humour noir et l’ironie, ce n’est vraiment pas ça qui te manque dans la vie, t’en a Ă  revendre, en fait. Et peu importe ton interlocuteur, qu’il s’agisse d’un de tes supĂ©rieurs ou non, t’en feras preuve, quand bon te semble. Tu ne vois pas vraiment l’intĂ©rĂȘt de t’en priver, ni mĂȘme pourquoi tu devrais te freiner d’une maniĂšre ou d’une plus, t’adores parler. Tu pourrais passer des journĂ©es entiĂšres Ă  le faire, si ton corps te le permettait. Et ce, de tout et de rien. MĂȘme si trĂšs clairement, ton sujet prĂ©fĂ©rĂ© sont les divers ragots et commĂ©rages que tu peux trouver. Pas spĂ©cialement pour les utiliser par la suite contre les personnes en question. Mais c’est distrayant et gĂ©nĂ©ralement assez amusant, aussi. Tout autant que ceux qui peuvent te concerner. T’aimes laisser planer le doute, et juste savoir ce qu’on peut bien penser de toi, que ce soit positif ou n’est gĂ©nĂ©ralement pas difficile de devenir de quelle humeur tu es. Il faut dire que ton visage est un peu comme un livre ouvert. T’es expressif, presque excessivement. Que ce soit tes yeux, tes sourcils, ta bouche, tes mains, tes paroles sont bien souvent suivies de mouvements les appuyant. Bien que le ton de ta voix pourrait bien souvent suffire. Surtout que t’es loin d’ĂȘtre discret lorsque tu parles. T’hurles pas non plus, mais si t’as quelque chose Ă  dire, et envie d’ĂȘtre entendu, t’hĂ©sites pas Ă  parler par-dessus les ne t’ennuies presque jamais, t’arrives Ă  t’occuper avec un rien, et qui plus est, ton cerveau ne se retrouve que trĂšs rarement totalement au repos. T’as toujours des milliers d’idĂ©es, pas spĂ©cialement bonnes, qui te passent par la tĂȘte et t’as qu’une envie, c’est de toutes les accomplir. C’est par un aprĂšs-midi pluvieux d’automne que la famille Rosier s’est agrandie non pas d’un, mais de deux nouveaux-venus. Ta sƓur, Misam, et toi-mĂȘme, Eltanin, deux noms d’étoiles, comme dans les anciennes traditions de votre famille, auxquelles vos parents tenaient Ă©normĂ©ment. Ta sƓur Ă©tant nĂ©e quelques secondes avant toi, elle a Ă©tĂ© considĂ©rĂ©e comme ton aĂźnĂ©e, bien que l’on parlĂąt gĂ©nĂ©ralement de vous deux comme Ă©tant des jumeaux. Vous avez reçu la mĂȘme Ă©ducation, aucun favoritisme d’un cĂŽtĂ© ou de l’autre, vous Ă©tiez totalement logĂ©s Ă  la mĂȘme enseigne. Qui soi dit en passant Ă©tait plus qu’agrĂ©able, vous n’aviez aucun problĂšme financier, et votre mĂšre avait une certaine tendance Ă  cĂ©der Ă  vos caprices lorsque votre pĂšre avait le dos tournĂ©. Cependant, vous aviez des caractĂšres assez diffĂ©rents. Alors que t’aimais te dĂ©marquer, prendre les devants lorsque t’en avait l’occasion, Misam Ă©tait plus renfermĂ©e, plus taciturne. Elle avait aussi un peu plus de mal Ă  aller vers les autres, et t’avais dĂ©cidĂ© par toi-mĂȘme de l’aider, de l’entraĂźner le plus souvent possible avec toi, peu importait ce que tu pouvais faire. Tu te disais que de toute maniĂšre ça ne pouvait qu’ĂȘtre mieux que de la laisser seule dans son coin , dans votre maison. Elle ne semblait pas toujours Ă  l’aise, mais t’avais un peu pris l’habitude de la voir rĂ©agir de cette maniĂšre, alors tu n’y faisais plus spĂ©cialement attention. Vos parents Ă©tant tous deux des sorciers, vous aviez passĂ©s des nuits dans votre chambre Ă  parler, rĂȘver, de ce que pourrait bien ĂȘtre votre premier signe de magie. Signe qui se faisait franchement tarder que ce sont de ton cĂŽtĂ© ou du sien. Ce n’est que l’annĂ©e de tes six ans qu’il daigna se montrer, sans doute pas de la meilleure des maniĂšres. Par ennui et curiositĂ©, t’étais allĂ© dans la cuisine alors que cela t’était formellement interdit par ton paternel. Pas du tout un endroit pour vous, qui Ă©tait presque entiĂšrement rĂ©servĂ© Ă  l’elfe de maison de la famille. Mais il t’arrivait d’y faire un tour, surtout que ce soir-lĂ , tes parents recevaient tes amis, ce qui signifiait que forcĂ©ment, il y aurait un dessert. Et vu que personne n’avait daignĂ© te dire ce que c’était, t’étais allĂ© voir par toi-mĂȘme. T’avais Ă©tĂ© assez déçu en remarquant qu’il s’agissait d’une espĂšce de piĂšce montĂ©e aux fruits rouges, alors que tout ce dont tu avais envie, c’était de quelque chose de commencĂ© Ă  te plaindre, en espĂ©rant que cet elfe qui n’était absolument pas sous tes ordres, mais plutĂŽt sous ceux de tes aĂźnĂ©s, ne change d’avis et ne cĂšde Ă  ton caprice. Ce qu’il ne fit absolument pas, alors t’avais continuĂ© de te plaindre et de t’énerver tout seul, jusqu’à faire une vĂ©ritable crise de larmes digne d’un enfant de deux ans, mais t’avais clairement mis ta dignitĂ© de cĂŽtĂ©. Tu ne supportais pas qu’on puisse te tenir tĂȘte. Et Ă  force de t’énerver, les tiroirs ce sont ouverts sans raison, quelques couteaux en sont sortis, avant d’aller se planter dans les divers murs de la piĂšce. Nettement plus de peur que de mal, personne n’en Ă©tait mort, fort heureusement, mĂȘme si l’oreille de l’elfe de maison en avait pris un coup, et surtout ton bras droit. T’avais Ă©tĂ© mitigĂ© assez fortement entre la joie, comprenant qu’il s’agissait de ta magie qui se manifestait enfin, et encore des pleurs, vu que tu ne t’étais jamais rĂ©ellement fait mal et que tu Ă©tais certain qu’il allait maintenant falloir d’amputer le bras et que tu ne pourrais plus jamais l’utiliser. Totalement faux, aprĂšs quelques heures, tout Ă©tait redevenu dans l’ordre, t’avais plus qu’une cicatrice, que tu portes encore aujourd’hui. Et tout le monde Ă©tait heureux et soulagĂ©s, hormis peut-ĂȘtre Misam qui semblait encore un peu plus stressĂ©e que d’ tout un temps, tes parents, toi aussi d’ailleurs, ont cru qu’il s’agissait d’une cracmol, mais le jour de vos neuf ans, elle fit totalement fondre les bougies qui se trouvaient sur la tarte qu’on vous avait prĂ©parĂ©e. Visiblement un trĂšs gros problĂšme avec les desserts dans votre famille, mais soit. T’étais content pour elle, mĂȘme si ça ne t’aurait absolument pas dĂ©rangĂ© de commencer Ă  faire tes Ă©tudes sans elle Ă  Poudlard. Un grand moment, ça aussi. Surtout lors de vos achats au Chemin de Traverse. Vous aviez pu choisir un animal, t’avais optĂ© pour un chat, un persan chinchilla qui t’avait directement tapĂ© dans l’Ɠil. Ta sƓur avait voulu aussi prendre un fĂ©lin, mais il s’était vite avĂ©rĂ©, mĂȘme dans le magasin, que celui que tu avais choisi ne supportait absolument pas la prĂ©sence des autres et tentait d’ĂȘtre agressif avec eux. Vous aviez deux choix, soit tu optais pour un autre, soit Misam pouvait prendre un autre animal, en espĂ©rant qu’il s’entendrait avec lui. Il n’avait pas fallu longtemps pour que la deuxiĂšme option soit adoptĂ©e. Tu n’avais aucune envie de dĂ©truire les quelques rĂȘves que t’avais pu faire avec cette boule de poil blanche en une poignĂ©e de seconde non plus. Puis elle avait eu droit Ă  un beau grand-duc aussi. Bien que tu le trouvais un peu ridicule, mais t’avais Ă©vitĂ© de le dire Ă  voix arrivĂ© le jour tant attendu de votre rentrĂ©e. Tu ne tenais clairement plus en place, alors que Misam traĂźnait un peu des pieds. Tu savais qu’elle avait un peu peur de devoir quitter la maison, l’espĂšce de cocon que vous aviez avec vos parents, t’avais essayĂ© de la rassurer en lui disant que de toute maniĂšre vous seriez ensemble, que ce serait beaucoup trop bien si vous vous retrouviez dans la mĂȘme maison. T’avais sĂ»rement dĂ» lui dire que tu ne la lĂącherais pas d’une semelle si ça pouvait lui faire plaisir. Que vous vivriez cette expĂ©rience ensemble, et qu’il n’y avait rien Ă  craindre. Et une fois sur place, elle semblait s’ĂȘtre calmĂ©e, toute aussi fascinĂ©e que toi par les Ă©tĂ© le premier Ă  passer sous le Choixpeau. Les secondes les plus longues de ta vie, sans aucun doute. Les plus excitantes que t’aies pu vivre jusqu’à tes onze ans, aussi. Il avait mis un peu de temps avant de se dĂ©cider Ă  t’envoyer chez les Bleu et Bronze. Ce qui te convenait parfaitement, t’étais dĂ©jĂ  assez optimiste, et t’aurais rĂ©ussi Ă  trouver du bon peu importe oĂč t’aurais atterri. Un peu moins l’avis de tes parents d’ailleurs, mais ce n’était pas comme si tu pouvais y changer quoique ce soit. Misam fut la suivante. A ta surprise, elle fut envoyĂ©e dans la mĂȘme Maison que la tienne, et ça t’arrangeait, tu te serais senti un peu mal de lui avoir dit quelques heures auparavant que vous n’alliez plus vous quitter, si vous ne partagiez mĂȘme pas les mĂȘmes salles communes. T’as pas tardĂ© Ă  te faire un groupe d’amis, faut dire que t’as jamais Ă©tĂ© trĂšs difficile, et que t’es facilement repĂ©rable, autant que mĂ©morable. Puis lors de ta troisiĂšme annĂ©e, ton cousin, Tomos vous avait rejoint chez les bleu et bronze. Tu l’avais toujours apprĂ©ciĂ©, tu le considĂ©rais mĂȘme plus que comme un frĂšre, alors pouvoir passer encore plus de temps avec lui, t’étais beaucoup trop heureux. Tu vivais tranquillement ta vie, et franchement d’un point de vue externe, tu te fondais dans la masse. T’excellais qu’en Potions et Divination, le reste Ă©tait plutĂŽt assez moyen, voire mĂȘme mĂ©diocre lorsqu’il s’agissait de la MĂ©tamorphose. A un tel point que lorsque vous deviez travailler en binĂŽme, t’avais du mal Ă  en trouver un, et tu finissais gĂ©nĂ©ralement par te retrouver avec Misam. Tu passais pas mal de temps avec elle, tu continuais de l’inclure lorsque vous faisiez des sorties Ă  PrĂ©-au-Lard, ou mĂȘme des sorties aprĂšs le couvre-feu, qui Ă  quelques reprises se conclurent en retenues. Puis durant votre cinquiĂšme annĂ©e, presqu’à la fin, il y avait eu ce pote, qui Ă©tait venu te voir pour t’avouer que ta sƓur l’attirait, mais qu’il n’osait pas vraiment l’aborder. T’avais pas trop su comment le prendre, au dĂ©but. T’avais toujours un peu ce cĂŽtĂ©, Ă  vouloir protĂ©ger Misam de tout. Mais qu’est-ce qui pourrait mal se passer, ce mec tu le connaissais depuis au moins trois ans, vous vous entendiez plus que bien. Alors t’avais Ă©tĂ© voir ta sƓur, commençant Ă  presque lui vendre votre homologue, du mieux que tu le pouvais. Tu te rappelles lui avoir dit qu’elle Ă©tait chanceuse, que c’était vraiment quelqu’un de bien. Tu ne sais mĂȘme plus combien de temps ça a durĂ©, votre conversation, mais ce fut assez long. Long mais payant. Quelques jours plus tard tu les avais vu ensemble, et t’étais carrĂ©ment content pour eux. Tu n’avais pas voulu t’immiscer plus que ça, surtout que vos arrivaient. Un grand moment. Surtout lorsque deux semaines avant le dĂ©but des Ă©preuves, tu t’étais rendu compte que certaines de tes notes Ă©taient incomplĂštes. Tu t’étais dit que t’irais au talent, ça avait toujours fonctionnĂ©. Puis tu t’es rendu compte aprĂšs ton premier examen, celui d’Histoire de la Magie, ça n’allait clairement pas suffire. Est-ce que t’avais passĂ© tout le restant de la journĂ©e Ă  paniquer et Ă  agresser verbalement chaque personne t’adressant la parole ? CarrĂ©ment. Toutes sauf une. Misam Ă©tait arrivĂ©e, avec ses notes pour te les passer. Elle avait toujours Ă©tĂ© plus organisĂ©e que toi, et elle avait fini d’étudier pour la journĂ©e. Pour pratiquement toute la session mĂȘme, elle t’avait dit. T’aurais jamais pu la remercier Ă  sa juste valeur, elle t’avait carrĂ©ment sauvĂ© d’un redoublage. T’avais aussi de la chance d’avoir une bonne mĂ©moire, mĂȘme si t’avais dĂ» sacrifier quelques heures de sommeil, t’avais trouvĂ© un bon crĂ©neau, pour ne pas commencer Ă  mourir sur tes parchemins les jours suivants. Et t’étais totalement Ă©tĂ© insupportable, jusqu’aux rĂ©sultats. Surtout que vos parents avaient prĂ©vus un voyage en France quelques semaines aprĂšs, vous aviez de la famille du cĂŽtĂ© de ta mĂšre installĂ©e par-lĂ , et tu n’avais aucune envie que ce soit gĂąchĂ© par une ou plusieurs notes particuliĂšrement nulles, mĂȘme si tu savais dĂ©jĂ  que t’avais ratĂ© un cours. Tu te souviens tellement bien du jour oĂč les hiboux sont arrivĂ©s. T’étais seul dans le salon, accoudĂ© Ă  la fenĂȘtre, prĂȘt Ă  rĂ©agir au premier mouvement un tant soi peu suspect. Tes parents travaillaient et Misam Ă©tait dans votre chambre, en train de prĂ©parer sa valise, elle devait passer quelques jours avec son copain et sa famille tu ne savais oĂč. Quand les volatiles Ă©taient arrivĂ©s, t’avais eu du mal Ă  ne pas leur arracher l’enveloppe des mains. D’ailleurs sur le coup, tu n’avais pas compris, mais le hibou dĂ©tenant la lettre de ta sƓur restait rĂ©solument devant toi, en te tendant la patte, alors que tu lui avais dit qu’elle Ă©tait en haut. T’en avais dĂ©duit qu’il Ă©tait juste dĂ©bile hein. Et t’avais aussi pris sa lettre au passage. T’avais ouverte la tienne en appelant ta sƓur presque assez fort pour que tout le village ne soit au courant, mais t’avais pas entendu de rĂ©ponse. T’étais sans doute trop absorbĂ© par la lecture de tes notes. Etonnement, t’avais rĂ©ussi Ă  avoir non pas deux O, mais trois, en plus de tes matiĂšres de prĂ©dilections, t’avais rĂ©ussi Ă  en dĂ©goter un en Botanique. Le reste Ă©tait un doux mĂ©lange de E et de A, sauf pour l’Histoire de la Magie. Un beau P y trĂŽnait. Mais t’allais plutĂŽt l’ l’enveloppe de Misam t’avait intriguĂ©e. Elle Ă©tait plus lourde. Et ta curiositĂ© t’avait poussĂ© en deux secondes Ă  l’ouvrir Ă  son tour. Le poids vu vite expliquĂ© par l’insigne de prĂ©fet qui s’y trouvait. T’avais beau eu te dire d’ĂȘtre heureux pour elle, t’en avais juste retirĂ© une certaine jalousie. Une certaine envie aussi. Pourquoi elle particuliĂšrement, et pas toi ? Voir mĂȘme, vous deux ? T’avais songĂ© un instant le garder pour toi, mais c’était ridicule, la direction devait avoir des papiers prouvant que c’était Ă  elle. T’avais aussi regardĂ© son relevĂ© de notes. Lui par contre, Ă©tait un peu moins bien que le tiens. Un soulagement, mĂȘme une certaine fiertĂ©, vu que tu t’y Ă©tais pris au dernier moment contrairement Ă  elle. Et comme elle ne venait pas, t’avais dĂ©cidĂ© d’aller directement la trouver, avec presque la ferme intention de te vanter de tes notes, tout en essayant de minimiser ce que le poste de prĂ©fet pouvait lui apporter. Sauf que Misam, elle n’a jamais su tout court qu’elle Ă©tait nommĂ©e n’a jamais su qu’elle avait rĂ©ussi absolument tous ses Ă©tait bien dans votre chambre, le corps inerte, retenu par une corde accrochĂ©e Ă  une des poutres. Le sourire que t’avais s’était figĂ©, l’information avait mis du temps Ă  monter. T’avais quand mĂȘme fini par percuter, aprĂšs une poignĂ©e de secondes. T’avais tellement pas su quoi faire, Ă  part l’appeler, en espĂ©rant qu’elle pourrait te rĂ©pondre. L’idĂ©e de la dĂ©tacher t’étais passĂ© par la tĂȘte, mais quelque chose t’empĂȘchait trĂšs clairement de l’approcher. De la peur ? Sans doute. Jusque lĂ , t’avais jamais eu aucune expĂ©rience avec la mort. Mais t’avais eu la prĂ©sence d’esprit de prendre son hibou, pour pouvoir Ă©crire une lettre Ă  tes parents, en espĂ©rant qu’ils la lisent assez rapidement. Et t’étais tombĂ© aussi sur un cahier qui t’étais Ă©trangement familier. Normal, t’avais eu exactement le mĂȘme Ă  ton entrĂ©e Ă  Poudlard, d’une couleur diffĂ©rente cependant. C’était son journal intime, chacun Ă©tant protĂ©gĂ© par un certain sort d’invisibilitĂ©. Sauf que tu voyais clairement quelque chose d’écrit. Sans doute que le sort s’était brisĂ© avec sa mort. Tu t’étais dit que t’y trouverais peut-ĂȘtre des rĂ©ponses, de toute maniĂšre t’avais jamais eu autant de mal Ă  rĂ©flĂ©chir qu’à cet instant, de toute ta vie. Tu ne savais plus trop ce que tu faisais, et une fois le hibou parti, t’étais de nouveau allĂ© te rĂ©fugier dans le salon, Ă  la diffĂ©rence que tu t’étais installĂ© presque prostrĂ© dans un des fauteuils, gardant un coussin prĂšs de toi, et ce journal. T’étais trop paniquĂ© pour pleurer, et mĂȘme pour faire quoique ce soit d’autre que de lire ce que t’avais en main. T’aurais jamais dĂ» faire ça, pour ton propre bien. T’aurais jamais dĂ» faire ça, pour respecter son intimitĂ©, sa rĂ©ponses, t’en a eues. Pas vraiment celles que t’aurais espĂ©rĂ©es. T’avais mis un temps Ă  le lire, plusieurs jours mĂȘme, lorsque tes parents Ă©taient revenus, t’avais juste eu le rĂ©flexe de le garder sur toi, le leur cachant dĂ©libĂ©rĂ©ment. Tu t’étais dit qu’une fois que t’aurais fini de le lire, tu prĂ©tendrais l’avoir retrouvĂ© par hasard. Au final, tu ne le leur a jamais montrĂ©, encore aujourd’hui il est dans tes affaires, au milieu d’une multitude de bouquins traitants de sujets tout aussi divers les uns que les autres. Tu sais trĂšs bien qu’il est lĂ , mais comment t’aurais pu le leur donner de ton plein elle n’avait jamais voulu spĂ©cialement se retrouver Ă  Serdaigle, elle l’avait simplement demandĂ©, par peur d’ĂȘtre sĂ©parĂ©e de toi, par peur que tu ne sois déçu si elle se trouvait autre part. A plusieurs reprises elle avait remis en cause ce choix, se rendant de plus en plus compte au fil des annĂ©es que ce n’était pas du tout une Maison qui lui convenait, dans les idĂ©aux qu’elle visait, les personnes qui y Ă©taient. Elle Ă©tait certaine que si elle Ă©tait allĂ©e dans une autre, elle aurait pu nettement plus Ă©voluer, se dĂ©complexer, plutĂŽt que de rester dans ton ombre la plupart du groupe d’amis ? ce n’était pas qu’elle ne le supportait pas, mais elle n’avait aucun atome crochu avec eux. Elle avait rĂ©ussi Ă  en avoir d’autres, Ă  cĂŽtĂ©, mais n’osant jamais dĂ©cliner les propositions de sorties que tu pouvais lui faire, elle avait fini malgrĂ© elle par les dĂ©laisser. Ta mĂ©diocritĂ© en MĂ©tamorphose ? Elle l’avait sans doute nettement plus subie que toi, s’était retrouvĂ© par moment avec des malformations temporaires desquelles t’avais toujours ri, aprĂšs tout, ça partait au bout de quelques heures. Mais si t’en riait de bon cƓur, ce n’était pas vraiment le cas de tout le monde. Les remarques, les regards, elle les avait tous notĂ©s, en espĂ©rant que ça passerait mieux si elle s’exprimait par Ă©crit. Mais plus les jours passaient, plus son style changeait, plus morne, plus sombre. Elle se remettait en doute, tout le heures de colles, tu les avais aussi prises Ă  la lĂ©gĂšre, te disant que ça faisait partie d’une scolaritĂ© normale, tant que vous n’en aviez pas constamment. Vos parents vous avaient fait aussi quelques remarques, auxquelles t’avais simplement acquiescĂ©, promettant un peu trop lĂ©gĂšrement que tu ne recommencerais plus. C’était tout autre chose pour ta sƓur, mĂȘme si elle en avait eue moins que toi, chaque paragraphe suivant une de ses retenues semblait ĂȘtre un concentrĂ© de manque de confiance en soi, de remise en question, elle venait Ă  se demander ce qu’elle faisait lĂ , pourquoi elle n’arrivait pas Ă  passer au-dessus comme tu pouvais le faire. A se dire qu’elle n’était qu’un boulet pour toi, que tout irait mieux si elle t’étais dit que ça ne pourrait qu’aller mieux une fois qu’elle se serait retrouvĂ©e avec son copain. Et mĂȘme si ça n’avait pas spĂ©cialement durĂ©, il te restait un nombre assez important de pages. T’étais vraiment trop naĂŻf, et trop con. Bien Ă©videmment, il y avait eu vos examens. Elle avait passĂ© un bon moment Ă  s’inquiĂ©ter pour toi, ton Ă©tat en revenant de la premiĂšre Ă©preuve. Elle avait dĂ©cidĂ© de passer absolument tout son temps libre Ă  complĂ©ter le plus possible ses notes en se renseignant Ă  la bibliothĂšque, et auprĂšs de plusieurs enseignants. Si t’avais sacrifiĂ© quelques heures de sommeil pour Ă©tudier, elle avait passĂ© de nuits blanches sur ces cours qu’elle te donnait, qu’elle n’avait mĂȘme pas le temps de relire pour elle-mĂȘme. Elle se disait qu’elle avait de toute façon dĂ©jĂ  commencĂ© ses rĂ©visions, et que réécrire tous les renseignements l’aiderait aussi. Sauf qu’elle finissait par s’endormir n’importe oĂč, n’importe quand, ne pensait mĂȘme plus Ă  manger, trop obnubilĂ©e par t’aider dans ta Ă  sa relation. Elle n’en avait jamais voulu, du tout. Elle l’avait acceptĂ© uniquement pour te faire plaisir, par peur une nouvelle fois de descendre dans ton estime. Puis tu lui avais assurĂ© que c’était quelqu’un de bien. Et qu’elle Ă©tait chanceuse. Si t’avais su. Il la forçait la plupart du temps Ă  faire des choses qu’elle ne voulait pas faire, c’était toujours de pire en pire, mais t’avais tellement l’air heureux quand tu les voyais ensemble qu’elle voulait encore moins te dĂ©cevoir. Elle Ă©tait totalement perdue, pire que ça, elle cherchait de l’aide, mais elle en savait pas oĂč en demander, ni mĂȘme Ă  qui. Et ces quelques jours qu’elle allait devoir passer en compagnie de son copain, elle les craignait plus que tout. Et elle en Ă©tait arrivĂ© Ă  un stade oĂč elle avait pris la dĂ©cision de tout arrĂȘter, d’arrĂȘter de vivre, d’ĂȘtre un poids pour tout le monde, mĂȘme pour elle-mĂȘme. Dire qu’elle se haĂŻssait Ă©tait un euphĂ©misme. Et t’avais bien dĂ» te rendre Ă  l’évidence que tout ce que t’avais fait pour Misam, s’était l’enfoncer. L’enfoncer et passer Ă  cĂŽtĂ© de son dĂ©sespoir. Ne pas lui tendre la bonne main. Ca t’avait fait beaucoup rĂ©flĂ©chir sur toi-mĂȘme. Bien la seule et unique fois oĂč t’as daignĂ© le faire. T’essayais de comprendre comment t’aurais pu l’aider, avant de te rendre Ă  l’évidence que tu ne saurais rien changer. Tu t’en voulais Ă©normĂ©ment, comment t’aurais pu ne pas le faire. Et les mois qui suivirent furent les pires de ta vie. Tu la cherchais inconsciemment, tu te cherchais aussi, certain d’avoir ratĂ© quelque chose, certain que si c’était arrivĂ©, c’était par ta faute, qu’il fallait que tu trouves ce qui clochait en toi. Tu ne comptais plus le nombre de nuits oĂč tu te rĂ©veillais, persuadĂ© de l’avoir entendue, ou sentie. MĂȘme aprĂšs qu’on t’ait fait changer de chambre, ne supportant plus du tout l’ancienne. Vous aviez quand mĂȘme tenu ce voyage en France, qui n’avait plus autant de valeur Ă  tes yeux qu’avant. Et l’ambiance qui rĂ©gnait dans votre famille sonnait totalement faux. Tu l’avais un peu fuie d’ailleurs, le plus possible, essayant de te changer les idĂ©es en rencontrant d’autres personnes. Pas uniquement tes cousins, mais aussi leurs amis qui avaient plus ou moins ton Ăąge. Tu cherchais clairement Ă  combler le vide qu’avait laissĂ© Misam, et ce de n’importe quelle maniĂšre. Franchement, commencer Ă  fumer ne t’a rien apportĂ©, si ce n’est une endurance un peu dĂ©plorable Ă  ce jour, surtout au niveau de la respiration. Mais une fille avait attirĂ© ton attention. Ce n’était pas que t’avais pas osĂ© l’aborder, mais t’avais un blocage. Peut-ĂȘtre que pour elle aussi, tu passerais Ă  cĂŽtĂ© de quelque chose, que tu lui ferais plus de mal qu’autre chose. Sauf que c’était elle qui s’était rapprochĂ© petit Ă  petit de toi. Qui avait clairement remarquĂ© que tes sourires Ă©taient un peu trop prononcĂ©s pour paraĂźtre vrai, que durant tes quelques moments d’absence, tu pouvais avoir un air on ne peut plus maussade. Elle Ă©tait patiente, douce, protectrice aussi, mĂȘme si elle savait ce qu’elle voulait et ne se laissait pas marcher sur les pieds. Elle avait Ă©tĂ© la premiĂšre Ă  te faire rire franchement depuis la disparition de Misam. Tu t’étais trĂšs rapidement attachĂ© Ă  elle, et c’était totalement rĂ©ciproque. Vous vous Ă©tiez mis ensemble rapidement, peut-ĂȘtre un peu trop. Mais t’en avais besoin de cette attention, de cette affection. Comme t’avais besoin d’en donner. Vous passiez la quasi-totalitĂ© de votre temps ensemble. Un soir, t’étais prĂȘt Ă  aller plus loin, mais tu l’avais sentie lĂ©gĂšrement rĂ©ticente, alors t’avais directement arrĂȘtĂ©, et elle t’avait parlĂ©. Elle avait aussi quelque chose sur le cƓur, qui la taraudait depuis un petit temps. Quelque chose qu’elle n’avait jamais osĂ© te dire, qu’elle essayait de cacher le plus possible. Elle avait mis du temps Ă  mettre les mots, Ă  se dĂ©cider Ă  te dire qu’elle Ă©tait un magnifique, le premier amour, on est prĂȘt Ă  tout accepter, tout pardonner. MĂȘlĂ© Ă  l’insouciance de la jeunesse. Certes, tu ne t’y attendais pas, t’avais essayĂ© de ne pas laisser transparaĂźtre ta surprise pour pas qu’elle ne le prenne mal. Surtout qu’à l’époque, t’étais clairement certain qu’il s’agissait de la femme de ta vie. Tu lui avais dit que ce n’était pas grave, que ça ne changeait rien pour toi. Ce qui Ă©tait en partie vrai, tu l’aimais tellement qu’à l’époque, t’aurais Ă©tĂ© prĂȘt Ă  faire tous les sacrifices possibles et inimaginables. Peut-ĂȘtre pour essayer de te racheter inconsciemment auprĂšs de Misam, certes. Sauf qu’il fallait bien que tu rentres en Angleterre, Ă  la fin des vacances. Tu lui avais promis de lui Ă©crire au plus vite, t’avais mĂȘme dĂ©jĂ  demandĂ© Ă  tes parents de pouvoir passer une semaine ici durant les vacances de NoĂ«l. T’as tenu ta promesse, tu lui as Ă©crit. Si au dĂ©but t’avais des rĂ©ponses assez rapides. Puis un jour, le nĂ©ant. Total. Tu ne savais pas ce que tu avais pu dire ou faire. Mais c’était comme si elle avait disparue. T’as aussi essayĂ© d’écrire Ă  ses parents, tout ce que tu avais compris, c’était qu’ils Ă©taient en pas eu envie d’abandonner, t’essayer de temps en temps de la recontacter. Et avec tout ça, le dĂ©but de ta sixiĂšme annĂ©e avait Ă©tĂ© une vĂ©ritable catastrophe. Une chute libre dans la totalitĂ© de tes matiĂšres, en mĂȘme temps tu ne trouvais mĂȘme plus la foi de faire tes devoirs, dĂšs que tu finissais les cours, t’allais directement dans ton dortoir, et t’y restais jusqu’au lendemain matin. T’avais du mal mĂȘme Ă  parler encore Ă  tes proches, parce que t’avais peur de tout empirer. Jusqu’au jour oĂč t’avais failli mettre fin Ă  tes jours. Qu’heureusement Tomos Ă©tait arrivĂ© Ă  temps pour te soigner d’ailleurs. Tu lui dois tellement de choses, t’en aurais presque honte. Chaque jour tu remercies la personne qui la pu le mettre sur ton prĂȘt aussi, Ă  tout abandonner. Mais tes enseignants, ou en tout cas ton directeur de maison n’avait pas du tout eu l’air d’ĂȘtre du mĂȘme avis. Il t’avait convoquĂ©, avec tes parents pour en parler. Pas la meilleure de ses idĂ©es, trĂšs clairement. Vous aviez juste fini par vous Ă©nerver. Et en ressortant t’étais mĂȘme plus spĂ©cialement triste, mais rancunier, t’en voulais Ă  tout le monde, pour le moindre problĂšme. T’avais Ă©tĂ© violent inutilement Ă  plusieurs reprises, t’avais de nouveau Ă©tĂ© convoquĂ©, mais seul cette fois-ci. Il t’avait bien fait comprendre que si tu ne changeais pas d’attitude, tu allais droit dans le mur. Que soit tu allais rater ton annĂ©e, soit tu risquais d’ĂȘtre renvoyĂ© temporairement si tu continuais de t’attirer autant d’ennuis. Il t’a fait rĂ©flĂ©chir sur toi-mĂȘme, essayant de t’aider, mĂȘme si tous ses conseils n’étaient pas franchement utiles. Vous vous voyiez rĂ©guliĂšrement, et petit Ă  petit, il t’avait aidĂ© Ă  aller mieux, Ă  utiliser cette espĂšce de colĂšre correctement. Elle n’était plus restĂ©e trĂšs longtemps. Parce que t’avais pris une dĂ©cision. Celle de d’abord penser Ă  toi. A ton avenir. Te prendre en main. Recommencer Ă  zĂ©ro, ou presque. T’en avais marre de te lamenter, de passer des heures Ă  te poser des questions. Tu voulais changer et t’allais changer. L’altruisme que t’avais essayĂ© d’avoir n’avait pas fonctionnĂ© ? T’allais plutĂŽt pencher pour l’égoĂŻsme, qui Ă©tait mieux placĂ© que toi-mĂȘme pour savoir ce qui te ferait plaisir, ce qu’il te fallait ? T’as enlevĂ© tout ce qui pouvait ĂȘtre nĂ©gatif dans ta vie. Absolument tout. T’as dĂ©cidĂ© de tout prendre assez lĂ©gĂšrement. De profiter aussi du fait que t’aies dĂ©libĂ©rĂ©ment des facilitĂ©s en Potions, et qu’en plus ça te ne t’es plus jamais rien refusĂ©. Ni Ă  toi, ni Ă  ta curiositĂ© d’ailleurs. T’avais commencĂ© Ă  t’intĂ©resser Ă  toutes les sortes de magies. La noire plus particuliĂšrement. Simplement parce qu’on ne vous en parlait que trĂšs rarement, qu’on vous l’interdisait Ă  l’école, et que t’estimais que dĂ©sormais le seul Ă  pouvoir te donner des rĂšgles, c’était toi-mĂȘme, en fait. Surtout que tu ne faisais rien de mal, tu te renseignais. C’était assez difficile Ă  expliquer, mais tu t’en sentais plus proche, t’avais toujours envie d’en savoir plus, aussi. Ce qui ne t’a pas empĂȘchĂ© de te concentrer sur tes Ă©tudes. De te recentrer. T’avais une idĂ©e bien en tĂȘte. Tu voulais suivre une formation bien particuliĂšre, celle de MaĂźtres des Potions. Une matiĂšre qui ne cessait aussi de te fasciner et avec laquelle il Ă©tait impossible de s’ennuyer ou de tomber dans une certaine routine. Tout ce qu’il te fallait. Tu savais qu’il s’agissait d’études assez longues, mais t’étais clairement motivĂ© pour. Enfin rien de mal. T’avais commencĂ© Ă  comprendre que Tomos, tu ressentais un peu plus de choses pour lui qu’un simple lien familial. Ou mĂȘme amical. Y avait ce jour oĂč vous aviez un peu trop bu, une des premiĂšres fois d’ailleurs oĂč tu le faisais. Et tu l’avais embrassĂ©. Il ne s’était pas retirĂ©, il n’avait rien tentĂ© mĂȘme, il y avait rĂ©pondu, mais vous l’aviez gardĂ© secret. T’avais eu peur d’en reparler, et de casser cette amitiĂ© si spĂ©ciale que vous mĂȘme d’entrer Ă  l’universitĂ©, t’avais choisi ta spĂ©cialisation ; les remĂšdes. Non pas pour avoir la satisfaction de sauver des vies, des gens. Parce que ce qui t’intĂ©ressait le plus Ă©taient les poisons, et les plantes qui pouvaient causer un empoisonnement. Voir l’effet qu’ils pouvaient avoir sur le corps humain. Et aussi, la satisfaction de pouvoir se dire que t’étais plus fort que ça. Ta scolaritĂ© s’était finie assez tranquillement, bien que t’aies commencĂ© Ă  dĂ©velopper une certaine haine, ou en tout cas mĂ©pris envers les gens qui n’étaient pas du mĂȘme rang que le tiens. GrĂące Ă  ça, ça t’évitait de t’attacher Ă  pas mal de monde dĂ©jĂ , et t’étais persuadĂ© de te protĂ©ger, au moins un minimum. Tes Ă©tudes supĂ©rieures ne furent pas spĂ©cialement une partie de plaisir. Si t’étais motivĂ©, que t’avais totalement les capacitĂ©s, tu n’aimais pas spĂ©cialement devoir apprendre sous la direction d’une personne, qui te disait constamment quoi faire. Qui te mettait des limites aussi, se permettant de te dire que telle ou telle chose Ă©tait peut-ĂȘtre trop difficile ou dangereuse pour toi. T’étais bien forcĂ© de l’écouter, si tu voulais rĂ©ussir, mais rien ne t’empĂȘchait cĂŽtĂ© de tes cours de continuer de te renseigner sur tout et n’importe quoi. T’essayais de te dire que plus tu avancerais, plus ce serait intĂ©ressant. Et t’avais pas spĂ©cialement tort. Du tout. Les deux premiĂšres annĂ©es avaient Ă©tĂ© spĂ©cialement longues, mais les trois autres, t’avais eu un peu plus de libertĂ©. Le summum avait Ă©tĂ© les deux derniĂšres, que tu devais passer Ă  l’étranger. OĂč tu devais changer de chaperon aussi, afin de tester tes connaissances et les remettre en question. Ca ressemblait nettement plus Ă  un challenge que t’avais relevĂ© haut la main. Ton diplĂŽme en poche, t’étais retournĂ© en Angleterre, et t’avais pris une annĂ©e sabbatique. T’avais pas eu envie de te lancer directement dans la vie active, tu t’étais posĂ©, tranquillement, en profitant pour te poser un peu, regarder aussi toutes les possibilitĂ©s qui pouvaient s’offrir Ă  toi. Et parfaire tes connaissances en Magie Noire, maintenant que tu n’avais plus personne pour t’en empĂȘcher. Au dĂ©but c’était un peu comme une fascination morbide. Puis ça ne s’est tenu qu’à la fascination. T’étais bien conscient que tu ne pouvais dĂ©libĂ©rĂ©ment pas en parler librement Ă  n’importe qui. Mais tu l’utilisais. Mais ça t’allait. Totalement. Il a bien fallu que tu finisses aussi par te bouger, et trouver un travail. T’as mĂȘme un peu galĂ©rĂ©, parce que certes, il y avait des postes Ă  Sainte-Mangouste, mais ce n’était pas assez bien pour toi. Qu’est-ce qui Ă©tait assez bien pour toi, mĂȘme. AprĂšs quelques refus Ă  gauche et Ă  droite, t’as bien dĂ» mettre ta dignitĂ© de cĂŽtĂ©, et te rabattre sur l’hĂŽpital. Vu ton parcours, t’avais pu devenir guĂ©risseur, au service d’empoisonnement, autant par les potions que par les plantes. T’étais plutĂŽt douĂ©, mĂȘme pour le cĂŽtĂ© relationnel. De base, t’aimes pas les gens, et pourtant, ça ne t’empĂȘche pas de parler Ă©normĂ©ment, de faire connaissance sans pour autant t’y attacher. Ca fait mĂȘme maintenant neuf ans, que tu travailles Ă  Sainte-Mangouste, que tu t’ennuierais presque comme un rat mort. Heureusement qu’il y a encore le bouche Ă  oreille. Mais t’aimerais trouver quelque chose qui casserait totalement ta routine. Quelque chose qui puisse pimenter ta vie, y redonner un peu plus de couleurs. T’es fatiguĂ© de te lever, d’accomplir presque toujours les mĂȘmes gestes, de passer tes soirĂ©es hors de ton appartement, dans l’espoir de faire une rencontre intĂ©ressante, qui pourrait venir te sortir de pas de te dire que tu pourrais te rendre plus utile que ça et que tu pourrais accomplir plus de choses sur un plan personnel. Que tes envies de grandeur, de pouvoir ne doivent pas ĂȘtre si difficiles Ă  assouvir. Bien Ă©videmment, une idĂ©e te passe de plus en plus en tĂȘte ces derniers temps. Un groupe qui est en train de monter en puissance, les Sombrals. Ils ne font pas que t’intriguer, ils t’attirent. Et t’as eu de la chance, d’en connaĂźtre celle qui est Ă  la tĂȘte, qui fait en quelque sorte partie de ta famille. Qui a pu t’y faire entrer. Tu ne la remercieras jamais assez non plus de t’avoir offert la possibilitĂ© d’y entrer. Mais en fait, ta vie prend un tournant que t’aurais jamais imaginĂ©. T’as rĂ©ussi Ă  parler Ă  ton cousin, aprĂšs une soirĂ©e mouvementĂ©e. Vous vous ĂȘtes mĂȘme mis ensemble, chose que tu n’aurais jamais cru possible. Tout ça, ça t’a donnĂ© le courage d’enfin prendre correctement ta vie en main, et de quitter ton travail, de le quitter et d’ouvrir ta propre apothicairerie. Tu sais pas trop ce que ça donnera, mais bon, t’as plutĂŽt 30 Oct - 1118Tu me manquais dĂ©jĂ  dis Fiche toujours aussi incroyable, je sais pas pourquoi ça aurait subitement changĂ© hein, bien hĂąte de reprendre tous nos petits rps parce que ça va ĂȘtre rigolo hihihijesaispluscequejedis BREF Rebienvenue et bonne validation awful
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SignĂ©EcclĂ©siaste 7.8, est le verset suivant "Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement". C'est exactement la pensĂ©e qui me vient en pensant Ă  mon stage, achevĂ© Chapitre 7 Le caractĂšre de plus en plus proverbial des chapitres qui suivent nous oblige Ă  les considĂ©rer d’une maniĂšre beaucoup plus dĂ©taillĂ©e. Ce chapitre introduit un nouveau sujet que l’on pourrait intituler La conduite de la sagesse dans un monde tel que le pĂ©chĂ© l’a fait, c’est-Ă -dire au milieu de ce qui n’est que vanitĂ©, douleur et folie. Dans les v. 1-9, nous voyons qu’il y a dans ce monde des choses qui valent mieux que d’autres. MalgrĂ© tout le dĂ©sordre et la ruine le sage s’appliquera Ă  les rechercher et y trouvera son profit. Nous avons dĂ©jĂ  constatĂ© une pensĂ©e semblable au chap. 49-14. Ici les choses profitables sont beaucoup plus accentuĂ©es et se trouvent en opposition directe avec ce que le monde choisit ou prĂ©fĂšre. Le sage se trouve nĂ©cessairement isolĂ© dans un monde oĂč rĂšgne la mort, fruit du pĂ©chĂ©. Mais cette scĂšne elle-mĂȘme lui offre des choses meilleures. Elles sont au nombre de sept, chiffre des choses complĂštes. 1° Mieux vaut une bonne renommĂ©e que le bon parfum». En Prov. 221, la bonne renommĂ©e parmi les hommes vaut mieux que de grandes richesses; ici elle est considĂ©rĂ©e des yeux de Dieu et vaut mieux devant Lui que l’huile parfumĂ©e dont Ă©taient oints les sacrificateurs pour accomplir leur service Ex. 3023-33. C’est par lĂ  que commence l’activitĂ© du sage. 2° Et le jour de la mort que le jour de la naissance». Cette pensĂ©e fait suite au n° 1. Arriver au jour de la mort ayant rĂ©alisĂ© une rĂ©elle consĂ©cration Ă  Dieu vaut mieux que l’entrĂ©e dans le monde. Deux fois, dans la vie du sage, cette derniĂšre lui avait fait dĂ©sirer de n’ĂȘtre jamais nĂ© 43; 64, 5. 3° Mieux vaut aller dans la maison de deuil, que d’aller dans la maison de festin, en ce que lĂ  est la fin de tout homme; et le vivant prend cela Ă  cƓur». Dans ce monde oĂč la mort domine, la maison oĂč le deuil est entrĂ© vaut mieux que celle oĂč rĂšgne la joie. Il convient au sage de frĂ©quenter la premiĂšre, car il s’y trouve en prĂ©sence de la rĂ©alitĂ©, de la fin de tout homme, consĂ©quence du pĂ©chĂ© qui rĂšgne dans le monde. Le vivant prend cela Ă  cƓur; il voit oĂč aboutit tout le travail de l’homme sous le soleil; il ne nourrit pas des espoirs et des projets que la mort peut anĂ©antir. 4° Mieux vaut le chagrin que le rire, car le cƓur est rendu meilleur par la tristesse du visage. Le cƓur des sages est dans la maison de deuil, mais le cƓur des sots, dans la maison de joie». Assister au chagrin d’autrui, voir les larmes couler, rend le cƓur meilleur, le dispose Ă  la sympathie, le pousse Ă  offrir des consolations. Il en est de mĂȘme, non seulement pour celui qui voit souffrir, mais aussi pour celui qui souffre. C’est par la tristesse du visage que Dieu agit sur le cƓur de l’homme pour lui faire trouver des choses meilleures. DisposĂ© ainsi, le cƓur des sages est dans la maison de deuil; c’est le lieu oĂč les affections peuvent ĂȘtre en exercice. Le cƓur des sots ne connaĂźt rien de ces bĂ©nĂ©dictions; la joie d’un moment leur suffit. Qu’en restera-t-il? N’est-ce pas le texte mĂȘme de l’EcclĂ©siaste? Celui qui mĂšne le deuil est estimĂ© bienheureux par le Seigneur, car il sera consolĂ© Matt. 54; et, pour le chrĂ©tien une bĂ©nĂ©diction descend sur lui de la part du Dieu de toute consolation, et cette consolation est Ă©ternelle 2 Thess. 216. 5° Mieux vaut Ă©couter la rĂ©prĂ©hension du sage, que d’écouter la chanson des sots. Car comme le bruit des Ă©pines sous la marmite, ainsi est le rire du sot. Cela aussi est vanité». Les sages profitent des expĂ©riences qu’ils ont faites, pour conduire leur prochain dans le droit chemin. Ils ont acquis l’autoritĂ© pour reprendre et redresser. Il vaut mieux les Ă©couter et en faire son profit que d’écouter la chanson des sots sons agrĂ©ables Ă  l’oreille, mais qui n’ont pas plus de sens que ceux qui les Ă©mettent. Le rire du sot ne dure pas; il s’éteint bien vite comme un feu d’épines sous la marmite; il ne bruit et ne flambe qu’un instant. AprĂšs, tout retombe dans le silence de la mort. Cela aussi est vanitĂ©. 6° Certainement, l’oppression rend insensĂ© le sage, et le don ruine le cƓur. Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement». Il y a pour le sage deux dangers dans ce monde. D’abord l’oppression qui le rend insensĂ© en le poussant Ă  la rĂ©volte, quand il voit toutes les injustices qui se commettent sous le soleil cf. 41-3. Ensuite, danger plus grand encore, le don par lequel le cƓur se laisse corrompre et pousser aux pires actions. Tels sont du reste toujours les deux moyens employĂ©s par Satan pour perdre les hommes la violence et la corruption ou la ruse. C’est pourquoi la fin vaut mieux que le commencement. Un cƓur qui a eu affaire au mal sans colĂšre et sans rĂ©volte, qui a refusĂ© les prĂ©sents et ne s’est pas laissĂ© sĂ©duire, arrive vainqueur au bout de l’épreuve et telle Ă©tait la fin que Dieu voulait produire1. 1 Telle est du moins l’explication de ce passage difficile que nous soumettons au lecteur chrĂ©tien. 7° Mieux vaut un esprit patient qu’un esprit hautain. Ne te hĂąte pas en ton esprit pour t’irriter, car l’irritation repose dans le sein des sots». Dans toutes ces Ă©preuves, le sage a appris la patience; il ne s’est pas Ă©levĂ© devant le mal et contre lui. La patience est toujours humble, douce, paisible; elle sait souffrir; elle atteint les choses promises HĂ©breux 615. La patience est le caractĂšre mĂȘme du Christ. Celui qui est patient ne se hĂąte ni ne s’irrite. Merveilleux tableau de la vie du sage au milieu de circonstances, fruit du pĂ©chĂ©, et qui sont toutes faites pour provoquer sa colĂšre, l’irriter ou le sĂ©duire. Il traverse un monde dont il connaĂźt bien le caractĂšre, n’y attend que souffrance, mais en est victorieux en suivant des principes diamĂ©tralement opposĂ©s Ă  tout ce qui dirige les hommes. v. 10-12. Il n’est pas sage de dire que le temps passĂ© Ă©tait meilleur que le prĂ©sent, chose que tous les hommes non pas les sages sont toujours portĂ©s Ă  penser. Dire cela n’est pas la sagesse, car elle a un jugement clair sur l’état du monde, et ce serait en contradiction avec tout ce que le PrĂ©dicateur nous a appris quand il a prononcĂ© le terrible mot Vanité» sur tout ce qui est sous le soleil depuis la chute. Si tout est perdu et corrompu, il reste une chose aussi bonne qu’un hĂ©ritage, la possession de la pensĂ©e divine. Elle est profitable; elle met Ă  l’abri, de la mĂȘme maniĂšre que, dans l’ordre des choses humaines, les richesses mettent Ă  l’abri. Elle est, de fait, la seule permanente richesse. Bien plus, elle est une source de vie pour celui qui la possĂšde. Combien plus nous, chrĂ©tiens, pouvons-nous dire La sagesse fait vivre celui qui la possĂšde», nous qui possĂ©dons Christ, la sagesse de Dieu I Cor. 124. v. 13, 14. ConsidĂšre l’Ɠuvre de Dieu, car qui peut redresser ce qu’il a tordu? Au jour du bien-ĂȘtre, jouis du bien-ĂȘtre, et, au jour de l’adversitĂ©, prends garde; car Dieu a placĂ© l’un vis-Ă -vis de l’autre, afin que l’homme ne trouve rien de ce qui sera aprĂšs lui». Le sage continue Ă  se mouvoir au milieu d’un monde gĂątĂ© par le pĂ©chĂ©. Il y rencontre l’Ɠuvre de Dieu et le rĂ©sultat du mal, qui ne peut ĂȘtre redressĂ© et oĂč les choses sont tordues par le pĂ©chĂ© 115. Mais ces choses tordues, Dieu les laisse subsister et en fait usage. Il a mis l’un vis-Ă -vis de l’autre le jour du bien-ĂȘtre dont l’homme est invitĂ© Ă  jouir et le jour de l’adversitĂ© qui le porte Ă  rĂ©flĂ©chir. De cette maniĂšre, l’homme est laissĂ© dans l’ignorance de ce qui sera aprĂšs lui. Une pareille conclusion est pleinement d’accord avec le livre de l’EcclĂ©siaste oĂč tout accĂšs aux choses invisibles est cachĂ© Ă  l’homme afin qu’il apprenne Ă  voir la vanitĂ© des choses qui l’entourent et dont la chute de l’homme a entiĂšrement troublĂ© l’harmonie. Le v. 15 confirme ce que nous venons de dire J’ai vu tout cela dans les jours de ma vanitĂ© il y a tel juste qui pĂ©rit par sa justice, et il y a tel mĂ©chant qui prolonge ses jours par son iniquité». Ces jours de vanitĂ© qui ont rempli la vie du sage l’ont amenĂ© Ă  voir la contradiction absolue entre ce qui est tordu et ce qui, selon Dieu, aurait dĂ» ĂȘtre. La justice du juste le conduit Ă  la mort! N’est-ce pas comme une anticipation prophĂ©tique de ce que rencontrera JĂ©sus lui-mĂȘme? D’autre part il y a tel mĂ©chant dont l’iniquitĂ© prolonge les jours. La vue du PrĂ©dicateur est toujours limitĂ©e par ce qui se passe sous le soleil». Combien les Psaumes, par exemple, diffĂšrent de cette conception quand ils nous dĂ©crivent ce qui attend les mĂ©chants! Les v. 16-18 font suite Ă  ce que nous venons de voir. Le PrĂ©dicateur avait parlĂ© de justice et de mĂ©chancetĂ©. Il montre maintenant qu’il peut y avoir excĂšs dans les deux directions, et quelles en sont les consĂ©quences. La mesure peut ĂȘtre dĂ©passĂ©e quand il s’agit de justice et de sagesse. Ce n’est pas autre chose, dans ce cas, que l’orgueil qui nous fait exagĂ©rer ces vertus pour nous rehausser par elles; or l’orgueil va devant l’écrasement Pourquoi, dit le PrĂ©dicateur, te dĂ©truirais-tu?» — Mais on peut ĂȘtre mĂ©chant Ă  l’excĂšs une telle pensĂ©e est en accord avec ce Livre qui nous dĂ©peint le monde tel que le pĂ©chĂ© l’a fait et ne substitue pas des principes nouveaux Ă  ce dĂ©sordre parce qu’il ne suppose pas une RĂ©vĂ©lation qui les introduise. Ici donc, l’excĂšs de la mĂ©chancetĂ© est considĂ©rĂ© comme amenant sur l’homme la mort avant le temps fixé». Quel que soit le triste Ă©tat du monde, il reste le théùtre du gouvernement de Dieu qui condamne tout excĂšs dans l’homme et lui en fait porter les consĂ©quences, surtout quand sa mĂ©chancetĂ© se donne carriĂšre. Combien cela est frappant dans l’état actuel du monde oĂč la mĂ©chancetĂ© de l’homme ne connaĂźt plus de bornes. Cet Ă©tat est le fruit de l’absence complĂšte de crainte de Dieu Il est bon que tu saisisses ceci et que tu ne retires point ta main de cela; car qui craint Dieu sort de tout». Voici la troisiĂšme fois que le mot craindre Dieu», revient dans ce Livre voyez 314; 5, 7, comme la seule chose qui mette l’homme Ă  l’abri du jugement. v. 19. AprĂšs avoir prĂ©muni contre l’excĂšs de sagesse, le PrĂ©dicateur en proclame hautement les mĂ©rites La sagesse fortifie le sage plus que dix hommes puissants qui sont dans la ville». Elle n’est pas seulement une source de vie pour celui qui la possĂšde v. 12, mais le sage y trouve la force dont il a besoin. Il est gardĂ© par elle contre les attaques de l’ennemi, plus qu’une ville par dix hommes puissants. Mais, v. 20-24, par la sagesse j’apprends Ă  me connaĂźtre. Elle est d’origine divine et me fait savoir ce que Dieu mĂȘme dĂ©clare Certes, il n’y a pas d’homme juste sur la terre qui ait fait le bien et qui n’ait pas pĂ©ché». Et cela concerne aussi bien le sage que les autres hommes. Le sage est-il le seul qui ait fait le bien? A-t-il Ă©coutĂ© de faux rapports? S’est-il fait maudire par son esclave? MaĂŻs, combien de fois lui-mĂȘme n’a-t-il pas maudit les autres! Combien de fois, quand il a dit Je serai sage», la sagesse s’est enfuie loin de lui? Et comment rĂ©parer le mal produit par ce manque de vigilance? Aux v. 25-29, le PrĂ©dicateur raconte sa propre histoire, une histoire amĂšre, en vĂ©ritĂ©! Il s’est appliquĂ©, comme il l’a dit au commencement de son Livre 117, Ă  rechercher la sagesse et Ă  connaĂźtre que la mĂ©chancetĂ© et la folie sont sottise et dĂ©raison. La tentation et la sĂ©duction sont venues Ă  lui par le moyen de la femme 1 Rois 114, et au lieu de lui Ă©chapper, lui que Dieu avait si grandement favorisĂ©, a pĂ©chĂ© et est devenu la proie de la sĂ©ductrice. Il a Ă©tĂ© amenĂ© Ă  la cruelle constatation, plus amĂšre que la mort», qu’il n’y a pas une femme entre elles toutes» qui n’attire les convoitises comme des filets et des rets», et dont les mains ne soient des chaĂźnes pour retenir captif celui qu’elle a saisi. Et mĂȘme, quelle insigne raretĂ© de trouver un homme sur la terre qui puisse venir en aide par sa sagesse ou son intelligence J’ai trouvĂ© un homme entre mille, mais une femme entre elles toutes, je ne l’ai pas trouvĂ©e». — Seulement, si la recherche du sage l’a amenĂ© Ă  ces dĂ©solantes conclusions, il en a retirĂ© un profit Voici, j’ai trouvĂ© que Dieu a fait l’homme droit; mais eux, ils ont cherchĂ© beaucoup de raisonnements» v. 29. L’homme sorti des mains de son CrĂ©ateur, au commencement, Ă©tait droit. Le PrĂ©dicateur a montrĂ© plus haut que la CrĂ©ation Ă©tait belle 311, et que maintenant tout est tordu 115; 713. La ruine est survenue, non pas du fait de Dieu, mais du fait de l’homme Eux, ils ont cherchĂ© beaucoup de raisonnements». Tel a Ă©tĂ© le cas dans le jardin d’Éden quand la femme vit que le fruit de l’arbre Ă©tait bon Ă  manger et qu’il Ă©tait un plaisir pour les yeux et que l’arbre Ă©tait dĂ©sirable pour rendre intelligent. Que de raisonnements! Et dĂšs lors il en a toujours Ă©tĂ© de mĂȘme.
7 L'oppression rend insensé le sage, et les présents corrompent le coeur. 8 Mieux vaut la fin d'une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu'un esprit hautain. 9 Ne te hùte pas en ton esprit de t'irriter, car l'irritation repose dans le sein des insensés. Références Croisées Galates 5:22
Ce dictionnaire contient 59 citations et pensĂ©es d'auteurs cĂ©lĂšbres français ou d'auteurs Ă©trangers sur le mot commencement. Si vous recherchez un proverbe, consultez nos meilleurs proverbes sur commencement issus des quatre coins du monde Le grain qui pourrit pourrait dire Je meurs. C'est le commencement de sa vie multipliĂ©e. Alexandre Weill ; Les glanes d'esprit 1874 Comme le livre, l'homme a deux pages blanches au commencement et Ă  la fin. L'enfance et la vieillesse. Alexandre Weill ; Le petit trĂ©sor d'esprit 1874 Gare aux commencements ! ils dĂ©cident de tout le reste. Henri-FrĂ©dĂ©ric Amiel ; Journal intime, le 25 mars 1868. On dit qu'on ne voudrait pas recommencer sa vie, et on tient Ă  la continuer. Quelle inconsĂ©quence ! On sait pourtant que le meilleur est au commencement. Diane de Beausacq ; Les pensĂ©es et maximes de la vie 1883 En toute chose, il faut soigner ses commencements, tout le reste en dĂ©pend. Victor Cherbuliez ; Les pensĂ©es extraites de ses Ɠuvres 1913 L'indĂ©cision est une grande flatteuse des amours-propres tant qu'on n'entreprend que d'une façon provisoire, notre vanitĂ© a derriĂšre elle une porte ouverte ; nous pouvons toujours abandonner ce commencement malheureux sous le prĂ©texte honnĂȘte que nous avons changĂ© d'avis. Antonin Rondelet ; Les mĂ©moires d'un Homme du monde 1861 Le siĂšcle est avancĂ©, et pourtant chacun commence par le commencement. Johann Wolfgang von Goethe ; Les maximes et rĂ©flexions 1749-1832 Les Ăąmes incertaines n'ont que des demi-volontĂ©s et des commencements, de pĂąles lueurs de vertu. Victor Cherbuliez ; La vocation du comte Ghislain 1888 Le commencement est la moitiĂ© de tout. Pythagore ; Les fragments - VIe s. av. Parmi les gens qui ont eu de petits commencements, les uns rĂ©pudient leur passĂ© et tĂąchent de l'oublier ; les autres prennent un plaisir extrĂȘme Ă  le rappeler. Victor Cherbuliez ; Les amours fragiles 1880 L'estime est le commencement de l'amour pour les cƓurs bien placĂ©s. Pierre-Jules Stahl ; Le voyage d'un Ă©tudiant 1861 Le commencement du bonheur, c'est d'espĂ©rer ce qu'on dĂ©sire. Robert Mauzi ; L'idĂ©e de bonheur dans la littĂ©rature française 1960 Du commencement on peut augurer la fin. Quintilien ; De l'institution oratoire, V - env. 90 ap. L'excuse de l'infidĂ©litĂ©, c'est qu'il n'y a rien d'aussi agrĂ©able que les commencements amoureux. Édouard Herriot ; Les notes, pensĂ©es et maximes 1961 Le mortel qu'un dieu daigne conduire voit toujours un commencement prospĂšre couronnĂ© d'une fin glorieuse. Pindare ; Les odes pythiques - Ve s. av. Un commencement d'affection n'est que le regret d'avoir mal fait. Pierre-Jules Stahl ; Vie et options philosophiques d'un pingouin 1841 Souvent le paradoxe est le commencement d'une vĂ©ritĂ©. Pierre Choderlos de Laclos ; De l'Ă©ducation des femmes 1783 À chose faite, il faut bien qu'il y ait commencement. Nicolas Machiavel ; L'histoire de Florence 1521-1525 En amour, s'il n'y a que les commencements qui soient charmants, alors je ne m'Ă©tonne pas qu'on trouve du plaisir Ă  recommencer si souvent ! Charles-Joseph de Ligne ; Mes Ă©carts ou ma tĂȘte en libertĂ© 1796 La fin de la jeunesse n'est pas la fin des illusions. C'en est le commencement. Illusion qu'on ne peut rien contre le monde, qu'il est le plus fort, que la sagesse consiste Ă  se coucher devant lui comme un chien, moyennant quoi il consent Ă  vous donner la pĂątĂ©e. Jean Dutourd ; Henri ou l'Ă©ducation nationale 1983 Les commencements de l'amour se situent toujours en dehors du monde. Lorsque deux personnes se dĂ©couvrent, il se passe quelques jours pendant lesquels elles vivent dans une sorte d'absolu, de paradis solitaire oĂč nul ne vient les dĂ©ranger. C'est aprĂšs, passĂ© les premiĂšres dĂ©couvertes, quand l'amour s'installe, avec son intendance, c'est-Ă -dire avec tous ses amĂ©nagements matĂ©riels, les rendez-vous, les escapades, les lieux secrets oĂč l'on se rencontre, les camouflages, les ajustements d'heures, etc., que le monde se remet Ă  peser. Jean Dutourd ; Les Ɠuvres romanesques 1979 Au commencement de la vie, l'homme est tellement gonflĂ© d'existence, qu'il la rĂ©pand de tous cĂŽtĂ©s, il voudrait avoir autant d'amis qu'il y a d'hommes sur terre, il ne pense qu'Ă  Ă©tendre ses relations, il veut connaĂźtre et ĂȘtre connu. Alphonse Karr ; Une heure trop tard 1833 Prudence est commencement de sagesse. Pierre-Jules Stahl ; Les pensĂ©es et rĂ©flexions diverses 1841 L'enfance est le commencement de l'humanitĂ©. Henri Lacordaire ; ConfĂ©rence de Notre-Dame de Paris, 17 1835 Rien de grand n'a jamais eu de grands commencements. Laure Conan ; À l'Ɠuvre et Ă  l'Ă©preuve 1891 Les commencements vigoureux rĂ©ussissent quelquefois, mais la suite n'y rĂ©pond pas. Etienne François de Vernage ; Nouvelles rĂ©flexions morales et politiques 1696 Le dĂ©but, chose Ă©trange, est les trois-quarts de l'Ɠuvre. L'impression premiĂšre est une obsession ; on ne rĂ©pare guĂšre une fausse manƓuvre ; qu'est un commencement ? Une imprĂ©gnation. Henri-FrĂ©dĂ©ric Amiel ; Journal intime, le 16 octobre 1872. Mille commencements ne font pas une histoire ; on n'aboutit Ă  rien sans se continuer. Henri-FrĂ©dĂ©ric Amiel ; Journal intime, le 29 aoĂ»t 1872. Quand le commencement d'une journĂ©e est bon, d'ordinaire la fin n'est pas mauvaise. Nicolas Machiavel ; L'entremetteuse maladroite 1513 ConnaĂźtre son mal est le commencement de la guĂ©rison. Fernando de Rojas ; La CĂ©lestine - XVIe siĂšcle.

LAFIN D'UNE CHOSE VAUT MIEUX QUE SON COMMENCEMENT - Ancien THEDE ESSONO Shalom bien-aimés dans le Seigneur. Soyez les bienvenus à programme d'Alliance LA FIN D'UNE CHOSE VAUT MIEUX QUE SON COMMENCEMENT - Ancien THEDE ESSONO Shalom bien-aimés dans le Seigneur. Soyez les bienvenus à programme d'Alliance Aller vers.

Lemaistre de Sacy - 1701 - SAC EcclĂ©siaste calomnie trouble le sage, et elle abattra la fermetĂ© de son Martin - 1744 - MAREcclĂ©siaste vaut la fin d’une chose, que son commencement. Mieux vaut l’homme qui est d’un esprit patient, que l’homme qui est d’un esprit - 1811 - OSTEcclĂ©siaste vaut la fin d’une chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient qu’un esprit Testament Samuel Cahen - 1831 - CAHEcclĂ©siaste fin d’une chose vaut mieux que son commencement, l’humeur patiente est meilleure que l’humeur Évangiles de FĂ©licitĂ© Robert de Lamennais - 1846 - LAMEcclĂ©siaste verset n’existe pas dans cette traduction !Perret-Gentil et Rilliet - 1869 - PGREcclĂ©siaste vaut la fin d’une chose que son commencement ; mieux vaut patience que prĂ©somption. –Bible de Lausanne - 1872 - LAUEcclĂ©siaste vaut l’issue d’une chose que son commencement. Mieux vaut l’esprit patient que l’esprit Testament Oltramare - 1874 - OLTEcclĂ©siaste verset n’existe pas dans cette traduction !John Nelson Darby - 1885 - DBYEcclĂ©siaste vaut la fin d’une chose que son commencement. Mieux vaut un esprit patient qu’un esprit Testament Stapfer - 1889 - STAEcclĂ©siaste verset n’existe pas dans cette traduction !Bible AnnotĂ©e - 1899 - BANEcclĂ©siaste vaut la fin d’une chose que son commencement, et mieux vaut l’esprit patient que l’esprit testament Zadoc Kahn - 1899 - ZAKEcclĂ©siaste fin d’une entreprise est prĂ©fĂ©rable Ă  son dĂ©but ; un caractĂšre endurant l’emporte sur un caractĂšre et Vigouroux - 1902 - VIGEcclĂ©siaste vaut la fin d’un discours que le commencement. Mieux vaut l’homme patient que l’ Louis Claude Fillion - 1904 - FILEcclĂ©siaste calomnie trouble le sage, et elle abat la force de son Segond - 1910 - LSGEcclĂ©siaste vaut la fin d’une chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient qu’un esprit Testament et Psaumes - Bible Synodale - 1921 - SYNEcclĂ©siaste verset n’existe pas dans cette traduction !Bible Augustin Crampon - 1923 - CRAEcclĂ©siaste vaut la fin d’une chose que son commencement ; mieux vaut un esprit patient qu’un esprit Pirot-Clamer - 1949 - BPCEcclĂ©siaste la fin d’une chose que son commencement, - mieux vaut la patience que la de JĂ©rusalem - 1973 - JEREcclĂ©siaste vaut la fin d’une chose que son dĂ©but, mieux vaut la patience que la Testament Osty et Trinquet - 1974 - TRIEcclĂ©siaste verset n’existe pas dans cette traduction !Segond Nouvelle Édition de GenĂšve - 1979 - NEGEcclĂ©siaste vaut la fin d’une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu’un esprit AndrĂ© Chouraqui - 1985 - CHUEcclĂ©siaste vaut l’avenir d’une parole que son en-tĂȘte. Mieux vaut longueur de souffle que hauteur de Évangiles de SƓur Jeanne d’Arc - 1990 - JDCEcclĂ©siaste verset n’existe pas dans cette traduction !Les Évangiles de Claude Tresmontant - 1991 - TREEcclĂ©siaste verset n’existe pas dans cette traduction !Bible des Peuples - 1998 - BDPEcclĂ©siaste Ă  bien une entreprise vaut mieux que la commencer c’est la persĂ©vĂ©rance qui compte, et non la 21 - 2007 - S21EcclĂ©siaste vaut l’aboutissement d’une affaire que son dĂ©but. Mieux vaut un esprit patient qu’un esprit James en Français - 2016 - KJFEcclĂ©siaste vaut la fin d’une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu’un esprit Septante - 270 avant JĂ©sus-Christ - LXXEcclĂ©siaste áŒÏ‡ÎŹÎ· Î»ÎłÎœ ᜑπáœČρ ጀρχᜎΜ Î±áœÎżáżŠ áŒ€ÎłÎ±ÎžáœžÎœ ΌαÎșÏÎžÏ…ÎŒÎż ᜑπáœČρ ᜑψηλ᜞Μ Vulgate - 1454 - VULEcclĂ©siaste est finis orationis quam principium melior est patiens arroganteAncien testament hĂ©breu - Biblia Hebraica Stuttgartensia - 1967 - BHSEcclĂ©siaste ڐַڗÖČŚšÖŽÖ„Ś™ŚȘ Ś“ÖŒÖžŚ‘ÖžÖ–Śš ŚžÖ”ÖœŚšÖ”ŚŚ©ŚÖŽŚ™ŚȘÖčÖ‘Ś• ژÖčքڕڑ ŚÖ¶ÖœŚšÖ¶ŚšÖ°ÖŸŚšÖ–Ś•ÖŒŚ—Ö· ŚžÖŽŚ’ÖŒÖ°Ś‘Ö·Ś”ÖŒÖŸŚšÖœŚ•ÖŒŚ—Ö·ŚƒNouveau testament grec - 2010 - SBLGNTEcclĂ©siaste verset n’existe pas dans cette traduction ! Cequi est fait n'est plus Ă  faire - quand on peut faire une chose, il ne faut pas la diffĂ©rer Ă  un autre temps. Chacun est bossu quand il se baisse - il ne faut pas se moquer des dĂ©fauts des autres, en particulier quand ils sont dans une position difficile. Chacun pour soi, Dieu pour tous - Laissons Ă  Dieu le soin de s'occuper des autres. Chacun son mĂ©tier et les vaches seront bien Mieux vaut la fin d’une chose que son commencement; mieux vaut un esprit patient qu’un esprit hautain. »EcclĂ©siaste 78 EcclĂ©siaste 78 Quand un match a Ă©tĂ© jouĂ©, la premiĂšre chose Ă  laquelle les gens s’intĂ©ressent est le rĂ©sultat final. Le rĂ©sultat final ! C’est la raison d’ĂȘtre du match. À quoi cela sert de faire toutes sortes d’exploits dans le jeu si cela aboutit Ă  une dĂ©faite. À cause du pĂ©chĂ©, le travail, les richesses, la beautĂ©, les prouesses de tout humain aboutissent Ă  la mort. Mais la finalitĂ© de la foi vĂ©ritable en JĂ©sus, c’est la vie Ă©ternelle, le paradis Ă©ternel, la gloire de Dieu. La Bible nous dit en DeutĂ©ronome 3019 19 J’en prends aujourd’hui Ă  tĂ©moin contre vous le ciel et la terre j’ai mis devant toi la vie et la mort, la bĂ©nĂ©diction et la malĂ©diction. Choisis la vie, afin que tu vives, toi et ta postĂ©ritĂ©,DeutĂ©ronome 3019 La vie, la vraie vie est la vie Ă©ternelle , alors, dĂšs aujourd’hui, bĂątissons avec JĂ©sus ! C’est ici la journĂ©e que l’Éternel a faite Qu’elle soit pour nous un sujet d’allĂ©gresse et de joie! Psaumes 11824 EcclĂ©siaste 7-9 – – – 2 Corinthiens 13 Toutechose retourne Ă  Dieu, ou en d’autres termes : on doit se rĂ©fĂ©rer Ă  Lui en toute chose, ou bien : tous les hommes seront ramenĂ©s devant Lui au Jour de la RĂ©surrection pour ĂȘtre jugĂ©s Ă©quitablement sans lĂ©ser personne en quoi que ce soit, ne serait ce du poids d’un atome ( ou d’une petite fourmi ). Une rĂ©alitĂ© confirmĂ©e par ce verset : Ecclesiastes 78 Better [is] the end of a thing than the beginning thereof If the thing is good, other ways the end of it is worse; as the end of wickedness and wicked men, whose beginning is sweet, but the end bitter; yea, are the ways of death, Proverbs 54 1625 ; and so the end of carnal professors and apostates, who begin in the Spirit, and end in the flesh, Galatians 33 2 Peter 220 2 Peter 221 ; but the end of good things, and of good men, is better than the beginning; as the end of Job was, both with respect to things temporal and spiritual, Job 87 4212 ; see Psalms 3737 Matthew 1022 Luke 1625 ; [and] the patient in spirit [is] better than the proud in spirit; patience is a fruit of the Spirit of God; and is of great use in the Christian's life, and especially in bearing afflictions, and tends to make men more humble, meek, and quiet; and such are highly esteemed of God; on them he looks, with them he dwells, and to them he gives more grace; when such who are proud, and elated with themselves, their riches or righteousness, are abominable to him; see Luke 1615 1814 . fRLbC.
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  • q148uwsiqf.pages.dev/102
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  • vaut mieux la fin d une chose que son commencement